Une accroche : tout le projet résumé en une phrase d'à peu près cette taille voire un petit peu plus longue mais pas trop.
UNE CUVÉE HOMMAGE
Fraîcheur, finesse, authenticité, élégance... Ce sont là les mots qui viennent à Antoine au moment de définir ce qui fait le caractère des 150 bouteilles qu’il propose chaque année, ou presque.
ANTOINE RENAUD : LA RELÈVE
La photo figure toujours dans l’album de famille. Elle est ancienne, un peu vieillie. On y voit un petit garçon, veste en laine et bonnet sur la tête, avançant dans les vignes, un panier à la main, lors des vendanges de 1987. Antoine Renaud a deux ans. Aussi loin qu’il se souvienne, il a passé les plus beaux moments de son enfance dans les vignes.
CHRISTIAN LAPIE : UN CHEMINEMENT
C'est le portrait d’un volcan déguisé en colline. Sous des dehors de notable policé, une force vive vous fait face, tranquillement. Pas un de ces artistes à la sensibilité bruyante, mais plutôt un de ceux qui savent créer des silences puissants et une œuvre qui « embarque ».
Une accroche : tout le projet résumé en une phrase d'à peu près cette taille voire un petit peu plus longue mais pas trop.
UNE CUVÉE HOMMAGE
Fraîcheur, finesse, authenticité, élégance... Ce sont là les mots qui viennent à Antoine au moment de définir ce qui fait le caractère des 150 bouteilles qu’il propose chaque année, ou presque.
ANTOINE RENAUD : LA RELÈVE
La photo figure toujours dans l’album de famille. Elle est ancienne, un peu vieillie. On y voit un petit garçon, veste en laine et bonnet sur la tête, avançant dans les vignes, un panier à la main, lors des vendanges de 1987. Antoine Renaud a deux ans. Aussi loin qu’il se souvienne, il a passé les plus beaux moments de son enfance dans les vignes.
CHRISTIAN LAPIE : UN CHEMINEMENT
C'est le portrait d’un volcan déguisé en colline. Sous des dehors de notable policé, une force vive vous fait face, tranquillement. Pas un de ces artistes à la sensibilité bruyante, mais plutôt un de ceux qui savent créer des silences puissants et une œuvre qui « embarque ».